L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) a déposé des demandes au Programme de contestation judiciaire (PCJ) concernant l’Université de l’Ontario français (UOF) et le Commissariat aux services en français.
L’organisme qui milite pour la défense des droits des francophones en Ontario a voulu « explorer ses options » en soumettant des dossiers dans le cadre de la première ronde de demandes.
« On sait ce que ça coute quand on s’en va du côté légal et qu’on paie des avocats. Pour nous, c’est extrêmement important que ce programme soit revenu sur les rails. Si on doit aller devant les tribunaux, il faut qu’on soit équipé pour le faire sur le plan financier », soutient Carol Jolin, président de l’AFO.
De son côté, le recteur par intérim de l’UOF, Normand Labrie, confirme qu’aucune demande de financement n’a été faite par son organisation.
Plus de 60 demandes ont été soumises au Programme de contestation judiciaire (PJC) qui a été rétabli en novembre dernier. Du nombre, 28 concernent les droits en matière de langues officielles et 34 sont au sujet des droits de la personne.
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