Jean Lavergne est à la tête de DigiFilm médias-presse, une entreprise de production audiovisuelle à Summerside. Québécois d’origine, il est établi avec sa femme à l’Île-du-Prince-Édouard depuis environ trois ans.
En plus d’être caméraman, vidéaste et producteur, il s’intéresse depuis 40 ans aux phénomènes paranormaux. Plus spécifiquement, à la recherche ufologique.

La recherche ufologique, qu’est-ce que c’est?
La recherche ufologique, c’est la cueillette, l’analyse et l’interprétation de données concernant les objets volants non identifiés (OVNIS). C’est une parascience, c’est-à-dire un domaine d’étude de phénomènes qui sort du cadre traditionnel scientifique, ou pour lesquels il n’y a pas d’explications scientifiques à proprement dit.
C’est là qu’on est rendu en 2020, avec la recherche ufologique : on a beaucoup de théories, beaucoup de suppositions, beaucoup de spéculations, mais trouver ce qu’est réellement un OVNI, on ne peut que dire […] ce que ce n’est pas.
Ce dernier s’est intéressé très tôt aux phénomènes ufologiques. «J’ai toujours été intéressé par ça quand j’étais jeune, les films de soucoupes volantes et de monstres. Au début des années 1980, il y a quelqu’un dans ma famille qui a fait une grosse observation d’OVNIS et il s’est passé beaucoup de choses en rapport à ça, ce qui a fait que j’ai commencé à m’y intéresser plus sérieusement», a-t-il expliqué en entrevue.
«Ça m’a amené à faire des enquêtes sur des cas, sur des observations, des affaires comme ça. J’ai fini par développer une sorte d’expertise dans le domaine.» Cette expertise a d’ailleurs été soulignée en 2016 par le prix Pauline Mongrain pour l’avancement ufologique au Québec.
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