
La pénurie de main-d’œuvre, un danger pour la francophonie du Sud-Est?
LE MONITEUR ACADIEN (Nouveau-Brunswick) – D’un côté, le désir d’intégrer avec respect le travailleur étranger dans sa communauté d’accueil. De l’autre, l’envie d’être reconnu en tant que francophone. Entre les deux, le besoin de recevoir des services. La situation dérange de plus en plus dans le Sud-Est, mais plusieurs hésitent à en parler de peur de créer des tensions.