le Lundi 29 mai 2023
le Vendredi 1 juillet 2022 13:00 | mis à jour le 19 avril 2023 16:31 Politique

En rappel : Les hauts et les bas du rapatriement de la Constitution

Pourquoi faire confiance à Francopresse.
Signature de la Constitution, 17 avril 1982. — PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA
Signature de la Constitution, 17 avril 1982.
PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA
FRANCOPRESSE - Il y a 40 ans, le Canada rapatriait sa Constitution. Le journaliste Marc Poirier retrace l'histoire de plus de 50 ans de travaux et de négociations.
En rappel : Les hauts et les bas du rapatriement de la Constitution
00:00 00:00

PREMIÈRE PARTIE

Pierre Elliot Trudeau à la gauche du premier ministre Lester B. Pearson lors de la conférence constitutionnelle de 1968.
PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA

 

L’antithèse d’un long fleuve tranquille

Le Canada a rêvé pendant au moins un demi-siècle d’avoir une constitution qu’il pourrait modifier sans devoir passer par Londres.

Lire la suite du texte

 

DEUXIÈME PARTIE

Jean Chrétien, ministre fédéral de la Justice, et Pierre Elliott Trudeau, premier ministre canadien, conférence des premiers ministres sur la Constitution, 1981.
PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA

Un compromis historique… sans le Québec

On dit qu’il faisait gris ce jour-là et que le temps était pluvieux. En ce 17 avril 1982, le temps qu’il faisait ne pouvait être plus représentatif de la symbolique du moment. Cent-quinze ans après la fondation du pays, après plus d’une cinquantaine d’années en quête d’une formule d’amendement, le Canada se dotait formellement ce jour-là d’une nouvelle constitution rapatriée. 

Lire la suite du texte

TROISIÈME PARTIE

Charte canadienne des droits et libertés.

PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA

La Constitution de 1982 a transformé le Canada

Le rapatriement de la Constitution canadienne en 1982 a été l’aboutissement d’une cinquantaine d’années d’efforts de la part de divers chefs politiques du pays. Il a ouvert un nouveau chapitre dans l’histoire du Canada, un chapitre qui n’est pas encore terminé.

Lire la suite du texte

 

Marc Poirier

Journaliste

Adresse électronique: