Les codemanderesses étaient Noëlla Arsenault (Cameron à l’époque) et Madeleine Costa (alors Petitpas), représentées par Me Robert McConnell.
Dans un article publié le 19 janvier 2000, La Voix acadienne titrait : «La Cour suprême du Canada rend un jugement unanime : La plus belle journée du millénaire pour les parents de Summerside».

L’article, signé par Jacinthe Laforest, se poursuivait ainsi : «La bonne nouvelle est arrivée à 10 h 45 par téléphone, directement d’Ottawa. Dans le petit bureau de la Fédération des parents de l’Î.-P.-É. au sous-sol du Centre J.-Henri Blanchard, les principaux intervenants étaient réunis pour attendre l’appel. La nervosité habitait les visages, on comptait les minutes puis les secondes et finalement, comme dans un scénario finement mis au point, la sonnerie a retenti. En quelques secondes, c’était la fête, des larmes se pointent aux coins des yeux, mais les visages sont rayonnants.»
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal La Voix acadienne